Le Temps – Yves Bennaïm, crypto-évangéliste en croisade

« Geek et libertarien, le Genevois s’est senti appelé pour expliquer la blockchain et le bitcoin au grand public. Sans devenir un prédicateur obtus qui défendrait coûte que coûte ce qui le fascine

Il a vu venir la vague qui va tout soulever. La déferlante «crypto», qui va bouleverser l’économie, les entreprises, la société, même. «Avec la blockchain, les individus se réapproprient leurs données, leur souveraineté, ils sont à nouveau responsabilisés», résume calmement Yves Bennaïm, droit sur un canapé en cuir brun dans son petit appartement-bureau genevois. »

https://www.letemps.ch/societe/yves-bennaim-cryptoevangeliste-croisade

Sébastien Ruche
9 avril 2018

Bilan – Selon Bill Gates les crypto-monnaies provoqueraient la mort

Dans une session de questions-réponses à la fin février sur le forum de discussions publiques Reddit, Bill Gates a écrit:

“La principale caractéristique des crypto-monnaies est leur anonymat. Je ne pense pas que ce soit une bonne chose. La capacité du gouvernement à identifier le blanchiment d’argent et l’évasion fiscale et le financement du terrorisme est une bonne chose. À l’heure actuelle, les crypto-monnaies servent à acheter du Fentanyl et d’autres drogues. C’est donc une technologie rare qui a causé des décès de façon assez directe. Je pense que la vague spéculative autour des ICO et crypto-monnaies est super risquée pour les acheteurs.”

Lire l’article sur Bilan.ch

TDG.ch – Le gendarme de la finance libère la «crypto nation»

«  «Jusque-là, la FINMA se contentait de dire que ces levées de fonds n’étaient pas hors la loi. Désormais elle les différencie», détaille, en écho, Yves Bennaïm, créateur de cette association d’entreprises impliquées dans les cryptomonnaies et la technologie informatique blockchain. (…)

Promoteur actif des nouveaux services de transactions instantanées que permet la technologie de la blockchain, le fondateur du think tank 2B4CH reste des plus dubitatifs. Le but de ces ICO «n’est pas de vendre des parts dans une PME – c’est très réglementé – mais de collecter des donations dont on pourra faire ce que l’on veut», prévient Yves Bennaïm. (…)

«Si c’était bien fait ce serait une première historique, mais là, le gouvernement vénézuélien surfe sur l’effet de mode et déploie à l’échelle nationale un stratagème qui va surtout permettre à quelques-uns de s’enrichir», grince le spécialiste des monnaies alternatives Yves Bennaïm. »

https://www.tdg.ch/economie/gendarme-finance-libere-crypto-nation/story/30708744

Pierre-Alexandre Sallier
23.02.2018

Le Temps – La cryptomonnaie vénézuélienne? Une «escroquerie» en faveur de l’élite du pays

«  Finalement, cette opération vénézuélienne ressemble vraiment à «une escroquerie, puisque face à une hyperinflation, le gouvernement décide d’imprimer encore de la monnaie, mais avec des billets virtuels», analyse Yves Bennaïm, fondateur du think tank 2B4CH, dédié au monde des cryptos et de la blockchain à Genève.

Pour ce partisan des nouvelles monnaies, le petro «pénalisera la population vénézuélienne, mais permettra aussi, paradoxalement, à d’autres acteurs internationaux de se poser les bonnes questions sur ce qu’il faut faire et ne pas faire». L’expérience du petro «montrera au grand public que de nouvelles solutions peuvent émerger grâce à la blockchain, les premières ne seront peut-être pas les plus concluantes, tout comme la création d’Internet n’a pas immédiatement débouché sur la naissance de Google ou d’Uber», conclut Yves Bennaim. »

https://www.letemps.ch/economie/cryptomonnaie-venezuelienne-une-escroquerie-faveur-lelite-pays

Sébastien Ruche
21 février 2018 à 20:54

Bilan – Crypto-actifs: mieux comprendre les ICOs

Tout le monde en parle, plusieurs milliards de francs mis à contribution en 2017, qui font la fortune de certains pendant que d’autres s’interrogent ou paniquent, les ICOs (acronyme de “Initial Coin Offering”) c’est une nouvelle méthode de financement apparue récemment et qui ne laisse pas indifférent, mais face à laquelle la majorité reste quand même confuse et perplexe.

Pour mieux comprendre comment ça marche et de quoi il s’agit, il suffit de se pencher sur le contexte de ses origines. Les ICOs c’est le mariage approximatif du financement participatif (ou “crowdfunding”) et de l’introduction en bourse (IPO, pour “Initial Public Offering”), le tout à la sauce crypto pour être dans l’air du temps.

Lire l’article sur Bilan.ch

Bilan – Bitcoin maximalisme, ou manque d’objectivité? (2ème partie)

Une “faiblesse” que certains reprochent souvent à Bitcoin c’est d’être trop simple, trop limité, et pas aussi programmable qu’Ethereum ou Neo par exemple. Effectivement, Bitcoin n’est pas une crypto avec un langage de programmation complexe, et n’est pas adapté aux contrats intelligents (“smart contracts”), donc pas non plus aux ICO etc. Bien que Bitcoin possède de petites possibilités de programmation, il faut savoir que cette limite assez réduite est une caractéristique désirée par ses créateurs, et que Bitcoin a même été “bridé” très tôt pour éviter justement les vulnérabilités liées à une trop grande souplesse de programmation.

Lire l’article sur Bilan.ch

Bilan – Bitcoin maximalisme, ou manque d’objectivité? (1ère partie)

En ces temps de “dégringolade” du cours, c’est peut-être justement le meilleur moment d’expliquer pourquoi les adeptes de la première heure restent très optimistes à long terme quant à Bitcoin, et pourquoi certains le considère toujours à part des autres crypto-biens. Et ce, indépendamment des fluctuations de son prix.

“Bitcoin maximaliste”, c’est le terme — péjoratif — pour désigner les enthousiastes (souvent de la première heure mais pas obligatoirement) qui sont investis émotionnellement dans Bitcoin et dénigrent les autres crypto-biens venus ensuite.

Lire l’article sur Bilan.ch

Bilan – Ripple, la crypto-monnaie des banques?

L’année 2017 fut celle de tous les records dans le monde des cryptos. On a beaucoup parlé du prix de Bitcoin bien sûr, mais il faut mettre cette envolée en perspective de certains autres projets qui ont aussi eu le vent en poupe. Le plus notable en cette fin d’année a été Ripple, dont la valuation a décollé de manière spectaculaire (36’000%) pour le grand bonheur de certains spéculateurs.

Mais si l’on ne regarde que le prix du jeton virtuel, il est assez facile de se tromper sur sa valeur réelle, et c’est justement un bon exemple à comparer avec Bitcoin, pour mieux apprécier les différences entre deux cryptos sans se laisser manipuler par les éventuels effets d’annonce et de mode.

Lire l’article sur Bilan.ch

Le Temps – Le ripple, la cryptomonnaie qui éclipse le bitcoin

«  En revanche, la blockchain du ripple «n’en est pas réellement une, tous les jetons ripples (symbole XRP) existent tous déjà (on dit qu’ils sont «pré-minés») et sont détenus en grande partie par un nombre restreint d’acteurs, dont les créateurs du réseau. Enfin, le système de transfert du ripple fonctionne indépendamment du jeton XRP», explique Yves Bennaïm, fondateur de 2B4CH dans un article de Bilan. »

https://www.letemps.ch/economie/ripple-cryptomonnaie-eclipse-bitcoin

“Le ripple, la cryptomonnaie qui éclipse le bitcoin”
Emmanuel Garessus
Publié jeudi 4 janvier 2018 à 18:10

Bilan – Bitcoin — Une introduction à la Blockchain

Après “Bitcoin”, l’autre mot à la mode mentionné un peu au hasard c’est “Blockchain”. La fameuse chaîne de blocs qui permet à la crypto-monnaie de se protéger de la falsification et de la double dépense. Et en général, de fonctionner. Comprendre Bitcoin nécessite de comprendre la Blockchain, et réciproquement.

Tout et son contraire ont été dit à propos de la Blockchain, et c’est un de ces nouveaux mots dont les malins s’emparent, galvaudent et détournent, et rendent plus compliqué qu’il ne l’est vraiment, pour effrayer et faire rêver les curieux, afin de leur vendre ensuite un produit miracle.

Lire l’article sur Bilan.ch

Bilan – Bitcoin et le FOMO

Vous allez penser “encore un article qui parle de Bitcoin”, mais l’amusante ironie de ce billet c’est que justement pour lancer cette nouvelle rubrique, il est sans doute utile de se pencher sur la déferlante grandissante de Bitcoin et des crypto-monnaies dans tous les médias, car faire le tri et comprendre deviennent plus facile lorsqu’on a pris un peu de recul et dégrossi qui dit quoi et pourquoi.

FOMO, c’est l’acronyme de “fear of missing out” (en Français, la peur de passer à côté, de rater le train), l’anxiété de manquer une nouvelle importante, exacerbée en général par les réseaux sociaux, qui transforme tout le monde en adolescent en quête d’acceptation sociale et de succès facile.

Lire l’article sur Bilan.ch

Bilan – La Suisse verra-t-elle naître l’univers investissable du bitcoin?

«  Genève peut-elle être une «place d’importance» pour les crypto-monnaies et la blockchain, un centre financier 2.0? C’était le vœu formulé jeudi 12 octobre par Yves Bennaïm, consultant en marketing en ligne, qui représente la Suisse dans les discussions internationales sur un cadre de référence commun (ISO) pour les technologies blockchain.

Lors de ce petit-déjeuner d’enthousiastes du bitcoin qui s’est déroulé jeudi à Genève, il s’agissait de «mettre de côté les peurs, les préjugés, les histoires sulfureuses» en rapport avec les crypto-currencies, et de se souvenir que par le passé, les ordinateurs, smartphones et autres percées technologiques majeures avaient suscité les mêmes méfiances», a souligné Yves Bennaïm, qui organisait l’événement. »

https://www.bilan.ch/finance/la_suisse_verra_t_elle_naitre_l_univers_investissable_du_bitcoin_

Myret Zaki
16 octobre 2017

Le Temps – Genève veut devenir une cybercapitale mondiale

« Genève voit également se multiplier les conférences et autres forums dédiés à d’autres aspects des nouvelles technologies, comme le bitcoin et la blockchain. «Nous voulons lancer la discussion et faire en sorte que Genève embrasse cette nouvelle révolution», explique au Temps Yves Bennaïm, entrepreneur et consultant en cryptomonnaies, qui a organisé jeudi le premier de ses «cryptobreakfast». (…)

Pour rattraper son retard, Genève doit rapidement instaurer «une coopération entre tous les acteurs locaux, et modifier la fiscalité ou la réglementation», conclut Yves Bennaïm. »

https://www.letemps.ch/economie/geneve-veut-devenir-une-cybercapitale-mondiale

Dejan Nikolic & Sébastien Ruche
Publié vendredi 13 octobre 2017 à 21:51

TDG.ch – Monnaie virtuelle: Le bitcoin gagne l’économie réelle à Genève

« L’attrait de cette technologie a convaincu Yves Bennaim, importateur de produits japonais dans sa boutique Tokyonama. «J’ai souhaité participer à sa promotion dans la vie réelle. Le projet bitcoin véhicule une vision novatrice de l’argent et de l’économie en général, sans intermédiaire.» S’il n’a, à ce jour, encore aucun client qui a réglé un achat en bitcoin dans son commerce, l’intérêt irait grandissant parmi la clientèle. «Quand j’ai crée ma première adresse e-mail en 1992, on me demandait à quoi elle allait servir. Là, c’est la même chose, les possibilités sont énormes.» »

https://www.tdg.ch/high-tech/bitcoin-gagne-economie-reelle-geneve/story/27406036

Julien de Weck
12.02.2014

The Bitcoin value argument

Whether or not Bitcoin is “money”, or “a currency”, or neither, it has undeniable value, in that some people are ready to buy or sell some for a price.

Some will say it’s a hype, because Bitcoin’s value is not really linked to its power to buy stuff. Sure you *can* buy things with bitcoins but it doesn’t seem to be its main strength for the moment.

Nevertheless, there is a de facto near-consensus (depending on which exchange you use) on the price of 1 BTC, which evolves according to supply and demand. That price is Bitcoin’s actual value.

Continue reading “The Bitcoin value argument”
© 2023 Yves Bennaïm