Récemment, tout le monde ne semblait jurer que par la fameuse Blockchain, en ignorant (parfois volontairement) que celle-ci n’est que la moitié d’un système délicat fonctionnant en binôme, et que sans la décentralisation de son crypto-actif elle n’est au mieux qu’un grand registre très lent et à la maintenance lourde. Puis on est naturellement passé aux Blockchains privées et à autorisation (“permissioned”), et des grands noms comme IBM ou JPMorgan Chase se sont positionnés comme leaders autoproclamés à l’avant-garde de cette nouvelle solution quasi-magique, facile à faire avaler aux curieux un peu trop optimistes.